Communiqué
RHEA estime que les attentats de Paris illustrent tragiquement l'adage : "à quelque chose, malheur est bon". Si les attentats s'étaient produits dans dix ou vingt ans, l'hypocrisie et la lâcheté qui prévalent dans la classe politique et sa superstructure médiatique auraient pu continuer de se donner libre cours, sans entraves, jusqu'à provoquer des dégâts irréparables et réduire à néant tout espoir de rétablir la situation. Or, quoique extrêmement dégradée, la situation actuelle laisse encore d'importantes marges de manoeuvre aux pouvoirs publics.
RHEA constate que les attentats de Paris sont nés, pour s'en tenir aux facteurs nationaux, de la rencontre de trois phénomènes distincts : d'une part l'obscurantisme islamiste ; d'autre part la délinquance, la criminalité et l'inversion des valeurs qui sévissent dans nombre de banlieues et cités populaires, qui constituent plusieurs centaines de "zones de non-droit" aux quatre coins de France ; enfin le communautarisme, c'est-à-dire le sentiment d'appartenance à une communauté ethnique, religieuse ou culturelle vécue comme extra-française, non-française voire anti-française, qui bat en brèche le sentiment d'appartenance à la France et à son peuple, et se nourrit de cet étiolement, en empêchant les uns et les autres de se retrouver ensemble dans le folklore traditionnel de la France et de faire société.
Il convient donc de traiter ces trois sujets :
RHEA constate que les attentats de Paris sont nés, pour s'en tenir aux facteurs nationaux, de la rencontre de trois phénomènes distincts : d'une part l'obscurantisme islamiste ; d'autre part la délinquance, la criminalité et l'inversion des valeurs qui sévissent dans nombre de banlieues et cités populaires, qui constituent plusieurs centaines de "zones de non-droit" aux quatre coins de France ; enfin le communautarisme, c'est-à-dire le sentiment d'appartenance à une communauté ethnique, religieuse ou culturelle vécue comme extra-française, non-française voire anti-française, qui bat en brèche le sentiment d'appartenance à la France et à son peuple, et se nourrit de cet étiolement, en empêchant les uns et les autres de se retrouver ensemble dans le folklore traditionnel de la France et de faire société.
Il convient donc de traiter ces trois sujets :