Education nationale : les propositions de RHEA pour en finir avec le désastre de l’enseignement français

Communiqué

RHEA rappelle qu’il y a encore quelques décennies, le système éducatif français était considéré comme l’un des meilleurs du monde. RHEA déplore que tel ne soit plus le cas, et s’interroge sur le rôle qu’ont joué les innombrables réformes successives dans cette dégradation.

RHEA considère la réforme portée par la ministre Najat Vallaud-Belkacem et le gouvernement Valls-Hollande comme un fatras de démagogie, de laxisme, de nivellement par le bas, d’attaques en règle contre les humanités classiques et de tartufferie très contemporaine. RHEA dénonce cette réforme comme un énième coup porté contre l’Education nationale, poursuivant l’œuvre de démolition entreprise depuis des lustres, tant sous la Gauche que sous la Droite.

RHEA estime que l’une des principales raisons du naufrage du système éducatif français tient au relâchement de la discipline et du respect dû aux professeurs et aux équipes enseignantes, de la part de trop d’élèves et de parents d’élèves.

RHEA exige la livraison des Mistral à la Russie et dénonce la soumission de la France de François Hollande aux Etats-Unis

Communiqué

RHEA exige que les deux porte-hélicoptères Mistral soient enfin livrés à la Russie, conformément aux contrats dûment signés.

RHEA constate que la décision de François Hollande a été prise sous la pression, en particulier, des Etats-Unis et du Royaume-Uni.

RHEA déplore que depuis l’élection de François Hollande, la diplomatie élyséenne est systématiquement alignée sur les Etats-Unis, au détriment des intérêts de la France et des grands équilibres du monde.

RHEA souligne que la diplomatie sous François Hollande est soumise aux Etats-Unis plus encore qu’au temps de Nicolas Sarkozy. Si ce dernier avait transformé la France en valet de Washington, notamment en se lançant dans une guerre insensée contre la Libye de Kadhafi – avec des conséquences multiples et désastreuses –, Sarkozy avait gardé sur le chapitre russe un minimum d’indépendance, notamment au moment de l’affaire géorgienne. RHEA observe que sous François Hollande, la soumission à Washington est devenue absolue.

Affaire des « listes » de Robert Ménard : RHEA dénonce la tartufferie de l’UMPS.

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L’affaire des « listes », réelles ou supposées, d’écoliers musulmans établies par la mairie de Béziers, a suscité des réactions indignées de la part des représentants de l’UMPS et de plusieurs associations soi-disant « antiracistes ».

RHEA s’étonne que l’établissement de listes en fonction de critères religieux ou ethniques révulse à ce point des partis politiques, en particulier le PS et l’UMP, ainsi que des associations, qui n’ont jamais dénoncé le largage des territoires d’Afrique de la France, en particulier celui de l’Algérie, alors que ce largage fut accompli au gré de critères notamment ethniques et religieux.

RHEA rappelle qu’entre 1958 et 1962, le gouvernement de Charles de Gaulle, bénéficiant sur ce point de l’appui d’une grande partie de l’UNR (ancêtre de l’UMP), de la SFIO (ancêtre du PS), du MRP (ancêtre de l’UDI et du MODEM) et du PCF, organisa la séparation institutionnelle des territoires africains et de la métropole française, au nom de considérations notamment raciales et religieuses.

Au contraire du gouvernement, RHEA prône la promotion de l’allemand comme langue d’enseignement obligatoire en France

Communiqué

Bien que la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, s’en soit défendu, beaucoup d’observateurs, notamment outre-Rhin, ont interprété la réforme des classes bilingues du collège comme un rude coup porté à l’enseignement de la langue allemande en France.

RHEA partage cette analyse et ces inquiétudes, et ne s’étonne pas qu’une nouvelle offensive en faveur, in fine, de la langue anglaise, soit portée par une ministre qui, comme nombre de ses collègues et comme le président de la République lui-même, fait partie des « Young Leaders », organisation liée aux services de renseignement et aux réseaux d'influence états-uniens.

RHEA prône, tout au contraire des velléités de Najat Vallaud-Belkacem et du gouvernement Valls-Hollande dont elle est membre, la promotion de l’allemand comme langue d’enseignement obligatoire en France, dès l’école maternelle, et ce pour plusieurs raisons.